Originaire de Bordeaux, Yannick Noxious Mahouto est auteur, compositeur. Il a collaboré avec plusieurs artistes comme Lacrim, Barack Adama, Algérino ou encore AM la Scampia, Thaïs
Aussi, il est réalisateur artistique, à Sony/ATV Music Publishing France et CEO & President.
" C'est quoi les bails ? " est une expression très utilisée en langage de rue, particulièrement dans les cité en banlieue, c'est l'une des expressions les plus utilisées de Niska.
Dans ce contexte, il veut tout simplement dire " quoi de neuf ", " qu'est-ce qu'il y'a de nouveau ? ".
Igo, très utilisé en langage de rue, et particulièrement présent dans le jargon de Niska dans ses morceaux.
D'après ses propos on comprend vite que Niska en a marre de la galère quotidienne, il répète qu'il a envie d'arrêter de mijoter et fuir la réalité " je veux que ça pète dans ma tête " , en prenant de la drogue " ce soir j'fume de la frappe " , ici il est question de résine de cannabis.
Igo, très utilisé en langage de rue, et particulièrement présent dans le jargon de Niska dans ses morceaux.
D'après ses propos on comprend vite que Niska en a marre de la galère quotidienne, il répète qu'il a envie d'arrêter de mijoter et fuir la réalité " je veux que ça pète dans ma tête " , en prenant de la drogue " ce soir j'fume de la frappe " , ici il est question de résine de cannabis.
Igo, très utilisé en langage de rue, et particulièrement présent dans le jargon de Niska dans ses morceaux.
D'après ses propos on comprend vite que Niska en a marre de la galère quotidienne, il répète qu'il a envie d'arrêter de mijoter et fuir la réalité " je veux que ça pète dans ma tête " , en prenant de la drogue " ce soir j'fume de la frappe " , ici il est question de résine de cannabis.
Gue-shlas représente le verlan du mot " shlag " qui, en langage de rue, est synonyme de clauchard.
schlass, en verlan, sse-schla veut dire en langage familier arme blanche, de l'anglais " slash ".
Littéralement, un imbécile.
Le mot viendrait de l'ivoirien et est utilisé principalement dans l'argot des cités du 91 (Grigny, Evry dont Niska est originaire).
Ce que Niska c'est que toutes les violences qui se passent dans son " bendo " n'est pas de la fiction comme l'on verrait dans les films d'action : les tirs, les bagarres, les gangs, la drogue... tout ça est bel et bien vrai et particulièrement présentes dans les quartiers populaires comme là où il a grandit.
Le gros bonnet fait référence à un de ses morceaux sorti en 2015, à cette époque il venait tout juste de se faire un petit nom sur la scène, ça n'a pas empêché que certains le remarquent et soient fan de lui dés cet instant.
" Fimbu " est un nom qui vient d'une chanson congolaise " Fimbu " de qui veut dire "chicoter ou frappez".
En lingala, le mot “fimbu” veut dire chicotte.
Un gimmick adopté par les Léopards en 2016
Après avoir bien cartonné dans les bars et les boîtes de nuit de Kinshasa, c’est en janvier 2016 lors du Championnat d’Afrique des Nations (tournoi réservé aux footballeurs africains évoluant sur le continent) que le morceau et la danse sont entrés dans le rituel de célébration des joueurs de l’équipe de la République Démocratique du Congo. Les Léopards avaient d’ailleurs remportés la compétition . Cette année à l’occasion de la CAN 2017, la chorégraphie est restée populaire et ce notamment grâce au très bon début de compétition de l’équipe
Sorti en août 2015, le morceau “Fimbu” du chanteur congolais Felix Wazekwa connaît un nouveau succès, grâce à la CAN 2017 et aux performances de l’équipe de foot de la RDC. On rassemblé quelques infos sur ce morceau qui s’est imposé comme le véritable hymne de la compétition !
1. Felix Wazekwa, l’homme derrière “Fimbu”
Le chanteur Felix Wazekwa
Connu pour ses collaborations avec les grands de la musique congolaise Koffi Olomidé et feu Papa Wemba, Felix Wazekwa, 54 ans, n’est pas un inconnu auprès de la communauté congolaise. Il faut croire que son nom va commencer à circuler en dehors du milieu grâce à Fimbu et sa chorégraphie très explicite.
2. Les origines de la danse
“Fimbu, c’est avant tout un plaidoyer en faveur de la lutte contre l’impunité. En lançant ce cri et cette danse, je voulais passer un message : dans divers domaines, ceux qui commettent des infractions méritent bien une chicotte. Voilà pourquoi j’ai créé fimbu.” a dévoilé Felix Wazekwa au site Jeune Afrique. Dans le clip, Wazekwa et ses danseurs mime une scène de “chicotage” en trois temps.
3. Fimbu, la “chicotte” héritée de l’époque de la colonisation belge
En lingala, le mot “fimbu” veut dire chicotte. Le nom d’un fouet à lanières nouées largement utilisé du temps de la colonisation belge au Congo. Un objet également fortement associé aux violences coloniales du temps de l’Etat indépendant du Congo précise le site Voa Afrique.
Les Léopards en train de danser “Fimbu” sur le terrain
4. Un gimmick adopté par les Léopards en 2016
Après avoir bien cartonné dans les bars et les boîtes de nuit de Kinshasa, c’est en janvier 2016 lors du Championnat d’Afrique des Nations (tournoi réservé aux footballeurs africains évoluant sur le continent) que le morceau et la danse sont entrés dans le rituel de célébration des joueurs de l’équipe de la République Démocratique du Congo. Les Léopards avaient d’ailleurs remportés la compétition . Cette année à l’occasion de la CAN 2017, la chorégraphie est restée populaire et ce notamment grâce au très bon début de compétition de l’équipe.
5. Un morceau devenu viral
Eliminés en quart de finale face après un match serré contre le Ghana, les Léopards ont dû ranger la chicotte mais les supporters des autres équipes ont gardé la chorégraphie en tête. La danse a même dépassé les frontières de la CAN et se retrouve dans les vestiaires d’autres équipes ou encore repris par des rappeurs congolais ou pas.
Felix Wazekwa, lui, se réjouit et anticipe déjà l’arrivée du phénomène Fimbu à la prochaine Coupe de Monde de football de Russie en 2018. “Je suis en pourparlers avec Maître Gims, avec Youssoupha, je verrai entre les deux qui sera disposé pour qu’on puisse faire la version internationale de fimbu“, -t-il confié à Voa Afrique. Beau défi
Le gros bonnet fait référence à un de ses morceaux sorti en 2015, à cette époque il venait tout juste de se faire un petit nom sur la scène, ça n'a pas empêché que certains le remarquent et soient fan de lui dés cet instant.
" Fimbu " est un nom qui vient d'une chanson congolaise " Fimbu " de qui veut dire "chicoter ou frappez".
En lingala, le mot “fimbu” veut dire chicotte.
Un gimmick adopté par les Léopards en 2016
Après avoir bien cartonné dans les bars et les boîtes de nuit de Kinshasa, c’est en janvier 2016 lors du Championnat d’Afrique des Nations (tournoi réservé aux footballeurs africains évoluant sur le continent) que le morceau et la danse sont entrés dans le rituel de célébration des joueurs de l’équipe de la République Démocratique du Congo. Les Léopards avaient d’ailleurs remportés la compétition . Cette année à l’occasion de la CAN 2017, la chorégraphie est restée populaire et ce notamment grâce au très bon début de compétition de l’équipe
Sorti en août 2015, le morceau “Fimbu” du chanteur congolais Felix Wazekwa connaît un nouveau succès, grâce à la CAN 2017 et aux performances de l’équipe de foot de la RDC. On rassemblé quelques infos sur ce morceau qui s’est imposé comme le véritable hymne de la compétition !
1. Felix Wazekwa, l’homme derrière “Fimbu”
Le chanteur Felix Wazekwa
Connu pour ses collaborations avec les grands de la musique congolaise Koffi Olomidé et feu Papa Wemba, Felix Wazekwa, 54 ans, n’est pas un inconnu auprès de la communauté congolaise. Il faut croire que son nom va commencer à circuler en dehors du milieu grâce à Fimbu et sa chorégraphie très explicite.
2. Les origines de la danse
“Fimbu, c’est avant tout un plaidoyer en faveur de la lutte contre l’impunité. En lançant ce cri et cette danse, je voulais passer un message : dans divers domaines, ceux qui commettent des infractions méritent bien une chicotte. Voilà pourquoi j’ai créé fimbu.” a dévoilé Felix Wazekwa au site Jeune Afrique. Dans le clip, Wazekwa et ses danseurs mime une scène de “chicotage” en trois temps.
3. Fimbu, la “chicotte” héritée de l’époque de la colonisation belge
En lingala, le mot “fimbu” veut dire chicotte. Le nom d’un fouet à lanières nouées largement utilisé du temps de la colonisation belge au Congo. Un objet également fortement associé aux violences coloniales du temps de l’Etat indépendant du Congo précise le site Voa Afrique.
Les Léopards en train de danser “Fimbu” sur le terrain
4. Un gimmick adopté par les Léopards en 2016
Après avoir bien cartonné dans les bars et les boîtes de nuit de Kinshasa, c’est en janvier 2016 lors du Championnat d’Afrique des Nations (tournoi réservé aux footballeurs africains évoluant sur le continent) que le morceau et la danse sont entrés dans le rituel de célébration des joueurs de l’équipe de la République Démocratique du Congo. Les Léopards avaient d’ailleurs remportés la compétition . Cette année à l’occasion de la CAN 2017, la chorégraphie est restée populaire et ce notamment grâce au très bon début de compétition de l’équipe.
5. Un morceau devenu viral
Eliminés en quart de finale face après un match serré contre le Ghana, les Léopards ont dû ranger la chicotte mais les supporters des autres équipes ont gardé la chorégraphie en tête. La danse a même dépassé les frontières de la CAN et se retrouve dans les vestiaires d’autres équipes ou encore repris par des rappeurs congolais ou pas.
Felix Wazekwa, lui, se réjouit et anticipe déjà l’arrivée du phénomène Fimbu à la prochaine Coupe de Monde de football de Russie en 2018. “Je suis en pourparlers avec Maître Gims, avec Youssoupha, je verrai entre les deux qui sera disposé pour qu’on puisse faire la version internationale de fimbu“, -t-il confié à Voa Afrique. Beau défi
La zone en langage courant désigne le quartier, la cité.
La zone en langage courant désigne le quartier, la cité.
" C'est quoi les bails ? " est une expression très utilisée en langage de rue, particulièrement dans les cité en banlieue, c'est l'une des expressions les plus utilisées de Niska.
Dans ce contexte, il veut tout simplement dire " quoi de neuf ", " qu'est-ce qu'il y'a de nouveau ? ".
Igo, très utilisé en langage de rue, et particulièrement présent dans le jargon de Niska dans ses morceaux.
D'après ses propos on comprend vite que Niska en a marre de la galère quotidienne, il répète qu'il a envie d'arrêter de mijoter et fuir la réalité " je veux que ça pète dans ma tête " , en prenant de la drogue " ce soir j'fume de la frappe " , ici il est question de résine de cannabis.
Igo, très utilisé en langage de rue, et particulièrement présent dans le jargon de Niska dans ses morceaux.
D'après ses propos on comprend vite que Niska en a marre de la galère quotidienne, il répète qu'il a envie d'arrêter de mijoter et fuir la réalité " je veux que ça pète dans ma tête " , en prenant de la drogue " ce soir j'fume de la frappe " , ici il est question de résine de cannabis.
Igo, très utilisé en langage de rue, et particulièrement présent dans le jargon de Niska dans ses morceaux.
D'après ses propos on comprend vite que Niska en a marre de la galère quotidienne, il répète qu'il a envie d'arrêter de mijoter et fuir la réalité " je veux que ça pète dans ma tête " , en prenant de la drogue " ce soir j'fume de la frappe " , ici il est question de résine de cannabis.
La zone en langage courant désigne le quartier, la cité.
La zone en langage courant désigne le quartier, la cité.
" C'est quoi les bails ? " est une expression très utilisée en langage de rue, particulièrement dans les cité en banlieue, c'est l'une des expressions les plus utilisées de Niska.
Dans ce contexte, il veut tout simplement dire " quoi de neuf ", " qu'est-ce qu'il y'a de nouveau ? ".
Igo, très utilisé en langage de rue, et particulièrement présent dans le jargon de Niska dans ses morceaux.
D'après ses propos on comprend vite que Niska en a marre de la galère quotidienne, il répète qu'il a envie d'arrêter de mijoter et fuir la réalité " je veux que ça pète dans ma tête " , en prenant de la drogue " ce soir j'fume de la frappe " , ici il est question de résine de cannabis.
Igo, très utilisé en langage de rue, et particulièrement présent dans le jargon de Niska dans ses morceaux.
D'après ses propos on comprend vite que Niska en a marre de la galère quotidienne, il répète qu'il a envie d'arrêter de mijoter et fuir la réalité " je veux que ça pète dans ma tête " , en prenant de la drogue " ce soir j'fume de la frappe " , ici il est question de résine de cannabis.
Igo, très utilisé en langage de rue, et particulièrement présent dans le jargon de Niska dans ses morceaux.
D'après ses propos on comprend vite que Niska en a marre de la galère quotidienne, il répète qu'il a envie d'arrêter de mijoter et fuir la réalité " je veux que ça pète dans ma tête " , en prenant de la drogue " ce soir j'fume de la frappe " , ici il est question de résine de cannabis.