L’ouverture de cette chanson se fait in medias res (au milieu de l’action).
En effet, Claudio évoque une situation très concrète de la vie d’un sans-abri. Sur le point de dormir dans un froid glacial, il se demande s’il pourra se réveiller. Beaucoup de sans-abris meurent de froid en hiver.
Selen des statistiques publiées par le collectif Les Morts de la Rue en 2014, pas moins de 454 SDF sont morts en 2013 en France, ce qui corrobore l'ouverture de cette chanson par une réalité sociale vécue en France par plus de 133.000 sans-dimicile fixe (INSEE - 2012).
L’ouverture de cette chanson se fait in medias res (au milieu de l’action).
En effet, Claudio évoque une situation très concrète de la vie d’un sans-abri. Sur le point de dormir dans un froid glacial, il se demande s’il pourra se réveiller. Beaucoup de sans-abris meurent de froid en hiver.
Selen des statistiques publiées par le collectif Les Morts de la Rue en 2014, pas moins de 454 SDF sont morts en 2013 en France, ce qui corrobore l'ouverture de cette chanson par une réalité sociale vécue en France par plus de 133.000 sans-dimicile fixe (INSEE - 2012).
Il se souvient de ses jours de galère mais promet de rester debout, de garder sa dignité et de continuer le combat pour s’en sortir.
Il se souvient de ses jours de galère mais promet de rester debout, de garder sa dignité et de continuer le combat pour s’en sortir.
Le chanteur exhorte ceux qui l’écoutent à prier pour qu’il dépasse ce moment difficile. L’anaphore « priez » rappelle également un poème très ancien signé François Villon (1431-1463). Intitulé La ballade des pendus ce poème est composé de quatre strophes qui se terminent toutes par le vers :
« Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! »
Ce poème appelait les lecteurs à ne pas avoir le cœur dur contre les condamnés à mort (par pendaison) mais à faire preuve de pitié. Il en va de même pour le message transmis par la chanson de Claudio Capéo qui nous invite à avoir de l’empathie pour les marginaux de notre société moderne que sont les sans-abris.
Le chanteur exhorte ceux qui l’écoutent à prier pour qu’il dépasse ce moment difficile. L’anaphore « priez » rappelle également un poème très ancien signé François Villon (1431-1463). Intitulé La ballade des pendus ce poème est composé de quatre strophes qui se terminent toutes par le vers :
« Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! »
Ce poème appelait les lecteurs à ne pas avoir le cœur dur contre les condamnés à mort (par pendaison) mais à faire preuve de pitié. Il en va de même pour le message transmis par la chanson de Claudio Capéo qui nous invite à avoir de l’empathie pour les marginaux de notre société moderne que sont les sans-abris.
Les histoires qui amènent des gens à se retrouver à la rue sont souvent complexes. Claudio nous demande de ne pas juger trop rapidement (de jeter la faute sur ces gens en les traitant de fainéants ou d’alcooliques) mais de rester solidaire (ouvrir la porte) et de tenter de comprendre leur situation.
Les histoires qui amènent des gens à se retrouver à la rue sont souvent complexes. Claudio nous demande de ne pas juger trop rapidement (de jeter la faute sur ces gens en les traitant de fainéants ou d’alcooliques) mais de rester solidaire (ouvrir la porte) et de tenter de comprendre leur situation.
Le premier couplet évoque de manière vivante le quotidien d’un musicien de rue. Claudio Capéo a connu la galère en tant que musicien. Il a longtemps bourlingué avec son groupe de métal, avant d’être repéré dans l’émission The Voice et de commencer une carrière de chanteur professionnel.
Le chanteur en question vit chaque instant de sa vie (de jour en jour) sans se poser de questions sur l’avenir. Sans domicile, il se déplace de squat en squat (lieu désaffecté occupé par des personnes sans titre de propriété) et se compare aux musiciens de rue du moyen âge (troubadour) qui sillonnés les villes en chantant des poémes dans l'espoir d'avoir une piéce. Ce qui renvoie à l'image de l'artiste sans domicile fixe.
Loin du glamour et du show business, tout ce que demande le chanteur de rue est qu’on lui prête attention (un regard, un sourire, un bonjour…). Mais face à lui, dans le métro ou dans la rue, les gens sont pressés. Trop pressé pour prendre le temps de l’écouter ou de dialoguer avec lui. Tout ce qu’ils font c’est courir pour régler leurs affaires du jour.
Avec ce couplet, Claude Capéo pose un regard critique sur la relation entre la société contemporenne et les personnes en situation de faiblesse.
Le premier couplet évoque de manière vivante le quotidien d’un musicien de rue. Claudio Capéo a connu la galère en tant que musicien. Il a longtemps bourlingué avec son groupe de métal, avant d’être repéré dans l’émission The Voice et de commencer une carrière de chanteur professionnel.
Le chanteur en question vit chaque instant de sa vie (de jour en jour) sans se poser de questions sur l’avenir. Sans domicile, il se déplace de squat en squat (lieu désaffecté occupé par des personnes sans titre de propriété) et se compare aux musiciens de rue du moyen âge (troubadour) qui sillonnés les villes en chantant des poémes dans l'espoir d'avoir une piéce. Ce qui renvoie à l'image de l'artiste sans domicile fixe.
Loin du glamour et du show business, tout ce que demande le chanteur de rue est qu’on lui prête attention (un regard, un sourire, un bonjour…). Mais face à lui, dans le métro ou dans la rue, les gens sont pressés. Trop pressé pour prendre le temps de l’écouter ou de dialoguer avec lui. Tout ce qu’ils font c’est courir pour régler leurs affaires du jour.
Avec ce couplet, Claude Capéo pose un regard critique sur la relation entre la société contemporenne et les personnes en situation de faiblesse.
Le premier couplet évoque de manière vivante le quotidien d’un musicien de rue. Claudio Capéo a connu la galère en tant que musicien. Il a longtemps bourlingué avec son groupe de métal, avant d’être repéré dans l’émission The Voice et de commencer une carrière de chanteur professionnel.
Le chanteur en question vit chaque instant de sa vie (de jour en jour) sans se poser de questions sur l’avenir. Sans domicile, il se déplace de squat en squat (lieu désaffecté occupé par des personnes sans titre de propriété) et se compare aux musiciens de rue du moyen âge (troubadour) qui sillonnés les villes en chantant des poémes dans l'espoir d'avoir une piéce. Ce qui renvoie à l'image de l'artiste sans domicile fixe.
Loin du glamour et du show business, tout ce que demande le chanteur de rue est qu’on lui prête attention (un regard, un sourire, un bonjour…). Mais face à lui, dans le métro ou dans la rue, les gens sont pressés. Trop pressé pour prendre le temps de l’écouter ou de dialoguer avec lui. Tout ce qu’ils font c’est courir pour régler leurs affaires du jour.
Avec ce couplet, Claude Capéo pose un regard critique sur la relation entre la société contemporenne et les personnes en situation de faiblesse.
Le premier couplet évoque de manière vivante le quotidien d’un musicien de rue. Claudio Capéo a connu la galère en tant que musicien. Il a longtemps bourlingué avec son groupe de métal, avant d’être repéré dans l’émission The Voice et de commencer une carrière de chanteur professionnel.
Le chanteur en question vit chaque instant de sa vie (de jour en jour) sans se poser de questions sur l’avenir. Sans domicile, il se déplace de squat en squat (lieu désaffecté occupé par des personnes sans titre de propriété) et se compare aux musiciens de rue du moyen âge (troubadour) qui sillonnés les villes en chantant des poémes dans l'espoir d'avoir une piéce. Ce qui renvoie à l'image de l'artiste sans domicile fixe.
Loin du glamour et du show business, tout ce que demande le chanteur de rue est qu’on lui prête attention (un regard, un sourire, un bonjour…). Mais face à lui, dans le métro ou dans la rue, les gens sont pressés. Trop pressé pour prendre le temps de l’écouter ou de dialoguer avec lui. Tout ce qu’ils font c’est courir pour régler leurs affaires du jour.
Avec ce couplet, Claude Capéo pose un regard critique sur la relation entre la société contemporenne et les personnes en situation de faiblesse.
Le premier couplet évoque de manière vivante le quotidien d’un musicien de rue. Claudio Capéo a connu la galère en tant que musicien. Il a longtemps bourlingué avec son groupe de métal, avant d’être repéré dans l’émission The Voice et de commencer une carrière de chanteur professionnel.
Le chanteur en question vit chaque instant de sa vie (de jour en jour) sans se poser de questions sur l’avenir. Sans domicile, il se déplace de squat en squat (lieu désaffecté occupé par des personnes sans titre de propriété) et se compare aux musiciens de rue du moyen âge (troubadour) qui sillonnés les villes en chantant des poémes dans l'espoir d'avoir une piéce. Ce qui renvoie à l'image de l'artiste sans domicile fixe.
Loin du glamour et du show business, tout ce que demande le chanteur de rue est qu’on lui prête attention (un regard, un sourire, un bonjour…). Mais face à lui, dans le métro ou dans la rue, les gens sont pressés. Trop pressé pour prendre le temps de l’écouter ou de dialoguer avec lui. Tout ce qu’ils font c’est courir pour régler leurs affaires du jour.
Avec ce couplet, Claude Capéo pose un regard critique sur la relation entre la société contemporenne et les personnes en situation de faiblesse.
Le premier couplet évoque de manière vivante le quotidien d’un musicien de rue. Claudio Capéo a connu la galère en tant que musicien. Il a longtemps bourlingué avec son groupe de métal, avant d’être repéré dans l’émission The Voice et de commencer une carrière de chanteur professionnel.
Le chanteur en question vit chaque instant de sa vie (de jour en jour) sans se poser de questions sur l’avenir. Sans domicile, il se déplace de squat en squat (lieu désaffecté occupé par des personnes sans titre de propriété) et se compare aux musiciens de rue du moyen âge (troubadour) qui sillonnés les villes en chantant des poémes dans l'espoir d'avoir une piéce. Ce qui renvoie à l'image de l'artiste sans domicile fixe.
Loin du glamour et du show business, tout ce que demande le chanteur de rue est qu’on lui prête attention (un regard, un sourire, un bonjour…). Mais face à lui, dans le métro ou dans la rue, les gens sont pressés. Trop pressé pour prendre le temps de l’écouter ou de dialoguer avec lui. Tout ce qu’ils font c’est courir pour régler leurs affaires du jour.
Avec ce couplet, Claude Capéo pose un regard critique sur la relation entre la société contemporenne et les personnes en situation de faiblesse.
Le premier couplet évoque de manière vivante le quotidien d’un musicien de rue. Claudio Capéo a connu la galère en tant que musicien. Il a longtemps bourlingué avec son groupe de métal, avant d’être repéré dans l’émission The Voice et de commencer une carrière de chanteur professionnel.
Le chanteur en question vit chaque instant de sa vie (de jour en jour) sans se poser de questions sur l’avenir. Sans domicile, il se déplace de squat en squat (lieu désaffecté occupé par des personnes sans titre de propriété) et se compare aux musiciens de rue du moyen âge (troubadour) qui sillonnés les villes en chantant des poémes dans l'espoir d'avoir une piéce. Ce qui renvoie à l'image de l'artiste sans domicile fixe.
Loin du glamour et du show business, tout ce que demande le chanteur de rue est qu’on lui prête attention (un regard, un sourire, un bonjour…). Mais face à lui, dans le métro ou dans la rue, les gens sont pressés. Trop pressé pour prendre le temps de l’écouter ou de dialoguer avec lui. Tout ce qu’ils font c’est courir pour régler leurs affaires du jour.
Avec ce couplet, Claude Capéo pose un regard critique sur la relation entre la société contemporenne et les personnes en situation de faiblesse.
Le premier couplet évoque de manière vivante le quotidien d’un musicien de rue. Claudio Capéo a connu la galère en tant que musicien. Il a longtemps bourlingué avec son groupe de métal, avant d’être repéré dans l’émission The Voice et de commencer une carrière de chanteur professionnel.
Le chanteur en question vit chaque instant de sa vie (de jour en jour) sans se poser de questions sur l’avenir. Sans domicile, il se déplace de squat en squat (lieu désaffecté occupé par des personnes sans titre de propriété) et se compare aux musiciens de rue du moyen âge (troubadour) qui sillonnés les villes en chantant des poémes dans l'espoir d'avoir une piéce. Ce qui renvoie à l'image de l'artiste sans domicile fixe.
Loin du glamour et du show business, tout ce que demande le chanteur de rue est qu’on lui prête attention (un regard, un sourire, un bonjour…). Mais face à lui, dans le métro ou dans la rue, les gens sont pressés. Trop pressé pour prendre le temps de l’écouter ou de dialoguer avec lui. Tout ce qu’ils font c’est courir pour régler leurs affaires du jour.
Avec ce couplet, Claude Capéo pose un regard critique sur la relation entre la société contemporenne et les personnes en situation de faiblesse.
Là encore on entre dès le départ dans l’action et la scène est brossée en un vers. Le mendiant remercie le passant pour la pièce qu’il lui donne.
Le mendiant se retourne vers nous et se confesse. A l’image de la confession faite à l’Eglise, cet homme ne cache rien de sa vie et nous raconte tout. Il parle des difficultés de la vie dans la rue et de l’espoir (d’avoir « un toit, une adresse » autrement dit une maison) chevillé au corps de dépasser ce passage difficile.
Il évoque le stress avec les dangers qui le guettent dans la rue et puis le temps qui passe sans perspectives d’avenir. Il évoque également le péril de l’alcoolisme (l’ivresse comme futur) et les promesses non tenues de personnes qui auraient pu lui venir en aide.
Le mendiant se retourne vers nous et se confesse. A l’image de la confession faite à l’Eglise, cet homme ne cache rien de sa vie et nous raconte tout. Il parle des difficultés de la vie dans la rue et de l’espoir (d’avoir « un toit, une adresse » autrement dit une maison) chevillé au corps de dépasser ce passage difficile.
Il évoque le stress avec les dangers qui le guettent dans la rue et puis le temps qui passe sans perspectives d’avenir. Il évoque également le péril de l’alcoolisme (l’ivresse comme futur) et les promesses non tenues de personnes qui auraient pu lui venir en aide.
Le mendiant se retourne vers nous et se confesse. A l’image de la confession faite à l’Eglise, cet homme ne cache rien de sa vie et nous raconte tout. Il parle des difficultés de la vie dans la rue et de l’espoir (d’avoir « un toit, une adresse » autrement dit une maison) chevillé au corps de dépasser ce passage difficile.
Il évoque le stress avec les dangers qui le guettent dans la rue et puis le temps qui passe sans perspectives d’avenir. Il évoque également le péril de l’alcoolisme (l’ivresse comme futur) et les promesses non tenues de personnes qui auraient pu lui venir en aide.
Le mendiant se retourne vers nous et se confesse. A l’image de la confession faite à l’Eglise, cet homme ne cache rien de sa vie et nous raconte tout. Il parle des difficultés de la vie dans la rue et de l’espoir (d’avoir « un toit, une adresse » autrement dit une maison) chevillé au corps de dépasser ce passage difficile.
Il évoque le stress avec les dangers qui le guettent dans la rue et puis le temps qui passe sans perspectives d’avenir. Il évoque également le péril de l’alcoolisme (l’ivresse comme futur) et les promesses non tenues de personnes qui auraient pu lui venir en aide.
Le mendiant se retourne vers nous et se confesse. A l’image de la confession faite à l’Eglise, cet homme ne cache rien de sa vie et nous raconte tout. Il parle des difficultés de la vie dans la rue et de l’espoir (d’avoir « un toit, une adresse » autrement dit une maison) chevillé au corps de dépasser ce passage difficile.
Il évoque le stress avec les dangers qui le guettent dans la rue et puis le temps qui passe sans perspectives d’avenir. Il évoque également le péril de l’alcoolisme (l’ivresse comme futur) et les promesses non tenues de personnes qui auraient pu lui venir en aide.
Le mendiant se retourne vers nous et se confesse. A l’image de la confession faite à l’Eglise, cet homme ne cache rien de sa vie et nous raconte tout. Il parle des difficultés de la vie dans la rue et de l’espoir (d’avoir « un toit, une adresse » autrement dit une maison) chevillé au corps de dépasser ce passage difficile.
Il évoque le stress avec les dangers qui le guettent dans la rue et puis le temps qui passe sans perspectives d’avenir. Il évoque également le péril de l’alcoolisme (l’ivresse comme futur) et les promesses non tenues de personnes qui auraient pu lui venir en aide.
Le mendiant se retourne vers nous et se confesse. A l’image de la confession faite à l’Eglise, cet homme ne cache rien de sa vie et nous raconte tout. Il parle des difficultés de la vie dans la rue et de l’espoir (d’avoir « un toit, une adresse » autrement dit une maison) chevillé au corps de dépasser ce passage difficile.
Il évoque le stress avec les dangers qui le guettent dans la rue et puis le temps qui passe sans perspectives d’avenir. Il évoque également le péril de l’alcoolisme (l’ivresse comme futur) et les promesses non tenues de personnes qui auraient pu lui venir en aide.
Le mendiant se retourne vers nous et se confesse. A l’image de la confession faite à l’Eglise, cet homme ne cache rien de sa vie et nous raconte tout. Il parle des difficultés de la vie dans la rue et de l’espoir (d’avoir « un toit, une adresse » autrement dit une maison) chevillé au corps de dépasser ce passage difficile.
Il évoque le stress avec les dangers qui le guettent dans la rue et puis le temps qui passe sans perspectives d’avenir. Il évoque également le péril de l’alcoolisme (l’ivresse comme futur) et les promesses non tenues de personnes qui auraient pu lui venir en aide.
Malgré le courage dont il fait preuve pour affronter cette situation, le sans-abri dénonce l’indifférence des gens. Si il lui arrivait quelque chose aucun passant ne se bougerait pour le secourir (« personne ne bronche »). Seuls les enfants ont encore l’innocence de le voir dans ce qu’il a d’humain. La société ne se pose pas de question sur les raisons qui l’ont amené à cette situation (« tout le monde trouve ça normal »). Au bout de sa confession, il reconnait qu’il lui arrive de vouloir tout abandonner. Autrement dit abandonner la vie.
Malgré le courage dont il fait preuve pour affronter cette situation, le sans-abri dénonce l’indifférence des gens. Si il lui arrivait quelque chose aucun passant ne se bougerait pour le secourir (« personne ne bronche »). Seuls les enfants ont encore l’innocence de le voir dans ce qu’il a d’humain. La société ne se pose pas de question sur les raisons qui l’ont amené à cette situation (« tout le monde trouve ça normal »). Au bout de sa confession, il reconnait qu’il lui arrive de vouloir tout abandonner. Autrement dit abandonner la vie.
Malgré le courage dont il fait preuve pour affronter cette situation, le sans-abri dénonce l’indifférence des gens. Si il lui arrivait quelque chose aucun passant ne se bougerait pour le secourir (« personne ne bronche »). Seuls les enfants ont encore l’innocence de le voir dans ce qu’il a d’humain. La société ne se pose pas de question sur les raisons qui l’ont amené à cette situation (« tout le monde trouve ça normal »). Au bout de sa confession, il reconnait qu’il lui arrive de vouloir tout abandonner. Autrement dit abandonner la vie.
Malgré le courage dont il fait preuve pour affronter cette situation, le sans-abri dénonce l’indifférence des gens. Si il lui arrivait quelque chose aucun passant ne se bougerait pour le secourir (« personne ne bronche »). Seuls les enfants ont encore l’innocence de le voir dans ce qu’il a d’humain. La société ne se pose pas de question sur les raisons qui l’ont amené à cette situation (« tout le monde trouve ça normal »). Au bout de sa confession, il reconnait qu’il lui arrive de vouloir tout abandonner. Autrement dit abandonner la vie.