« Dors » est une injonction ;
Orelsan exhorte l’enfant dont il est question ici à continuer de dormir, à continuer à fermer les yeux ; de cette façon, enfermé dans une attitude passive, il ne peut pas se rendre compte des problèmes auxquels la société qui l’entoure fait face.
si il dit dort, ça pourrait être aussi une demande a l'enfant de dormir pour ne pas voir la réalité en face, de continuer de rêver de toutes ces choses bien afin de ne pas être impacté par la dure réalité
Au sens propre Orelsan tente d'endormir un enfant avec sa chanson. Au sens figuré apparaît l'expression “endormir quelqu'un” qui s'utilise lorsqu'on déforme la vérité pour faire avaler des bobards.
Orel endort cet enfant dans les deux sens du terme (ou plutôt, il doit l'endormir (lui mentir) afin de l'endormir).
Orelsan essaie d'endormir l'enfant qui l'accompagne dans le clip, serait-ce son homologue enfantin à qui il s'adresse ? essayant de calmer l'enfant qu'il est en lui, de fermer les yeux, de se laisser aller dans un sommeil
Ou est-ce une façon à lui de refléter l'attitude passive qu'a tout le monde à rien faire
Parle-t-il à un enfant ?
serait-il lui même cet enfin à qui il s'adresse ?
Ou parle-t-il à tous ceux qui sont endormis par les médias et la télé-réalité comme pour leur dire de continuer de dormir car les choses vont bien, on peut y voir de l'ironie dans ce qu'il dit de façon implicite, comme un double sens caché, qu'il ne croit pas à un mot de ce qu'il dit.
C'est une métaphore beaucoup plus vaste qu'elle n'y parait. On peut aussi y voir une image des médias, de la politique cherchant a taire le citoyen qui pose beaucoup trop de questions. Au final on est un peu comme le petit , on voit les massacres mais on retourne se coucher ,bercés par leurs enivrantes paroles…
On peut également y voir une référence à la chanson “Dodo” de l'artiste belge Stromae ( à noter que le morceau produit par Skread mais aussi co produit par Stromaé, l’instrumental s'entend l'ambiance est très stromalien d'ailleurs).
Ce morceau, a une instrumentalisation très similaire, une berceuse qu'on chanterait à un enfant dépeignant la cruauté qui est aussi une réalité de la vie sur un ton paradoxalement léger.
Contrairement à la chanson “Dodo” de Stromae, cette chanson a pris trois cas particulier qui touchent tout particulièrement l'Ukraine en ce moment.
« Dors » est une injonction ;
Orelsan exhorte l’enfant dont il est question ici à continuer de dormir, à continuer à fermer les yeux ; de cette façon, enfermé dans une attitude passive, il ne peut pas se rendre compte des problèmes auxquels la société qui l’entoure fait face.
si il dit dort, ça pourrait être aussi une demande a l'enfant de dormir pour ne pas voir la réalité en face, de continuer de rêver de toutes ces choses bien afin de ne pas être impacté par la dure réalité
Au sens propre Orelsan tente d'endormir un enfant avec sa chanson. Au sens figuré apparaît l'expression “endormir quelqu'un” qui s'utilise lorsqu'on déforme la vérité pour faire avaler des bobards.
Orel endort cet enfant dans les deux sens du terme (ou plutôt, il doit l'endormir (lui mentir) afin de l'endormir).
Orelsan essaie d'endormir l'enfant qui l'accompagne dans le clip, serait-ce son homologue enfantin à qui il s'adresse ? essayant de calmer l'enfant qu'il est en lui, de fermer les yeux, de se laisser aller dans un sommeil
Ou est-ce une façon à lui de refléter l'attitude passive qu'a tout le monde à rien faire
Parle-t-il à un enfant ?
serait-il lui même cet enfin à qui il s'adresse ?
Ou parle-t-il à tous ceux qui sont endormis par les médias et la télé-réalité comme pour leur dire de continuer de dormir car les choses vont bien, on peut y voir de l'ironie dans ce qu'il dit de façon implicite, comme un double sens caché, qu'il ne croit pas à un mot de ce qu'il dit.
C'est une métaphore beaucoup plus vaste qu'elle n'y parait. On peut aussi y voir une image des médias, de la politique cherchant a taire le citoyen qui pose beaucoup trop de questions. Au final on est un peu comme le petit , on voit les massacres mais on retourne se coucher ,bercés par leurs enivrantes paroles…
On peut également y voir une référence à la chanson “Dodo” de l'artiste belge Stromae ( à noter que le morceau produit par Skread mais aussi co produit par Stromaé, l’instrumental s'entend l'ambiance est très stromalien d'ailleurs).
Ce morceau, a une instrumentalisation très similaire, une berceuse qu'on chanterait à un enfant dépeignant la cruauté qui est aussi une réalité de la vie sur un ton paradoxalement léger.
Contrairement à la chanson “Dodo” de Stromae, cette chanson a pris trois cas particulier qui touchent tout particulièrement l'Ukraine en ce moment.
Orelsan dresse une petite histoire tiré d'un vrai compte de fée, autour du fléau des sans abris, essayant tant bien que mal de cacher la vérité à cet enfant, jusqu'à idéaliser et positiver l'image que donnent nos SDF dans la rue, avec beaucoup de naïveté et d'idéalisation il décrit et explique ce que vit un SDF et comment il vit avec beaucoup de légèreté mais surtout d'imagination
Evidemment tout ce qu'il dira n'est pas la vérité, car :
Si il dort dehors, c'est qu'il n'a pas de toit au dessus de sa tête.
Si il s'amuse à faire le mort, c'est que peut être au mieux il dort, au pire il a succombé au froid ou à la faim.
S'il a disparu, c'est qu'il s'est fait chasser par la police ou qu'il est décédé.
Toutes ces vérités acerbes qu'on voit tous les jours, comment le dire aux enfants ?
Alors, Orelsan essaie de donner des explications farfelues pour que l'enfant ne soit pas traumatiser, pour qu'il n'ait pas peur
D'autre part, l’île dont il fait référence est une métaphore du paradis, L'SDF trouvera enfin son bonheur, lui qui n'a pas eu droit aux vacances il pourra enfin profiter de la vie qu'il n'a pas pu avoir sur terre.
Et vous, si un enfant vous demandez d'expliquer pourquoi tous ces hommes et femmes dorment dans la rue, vous diriez quoi ?
Orelsan dresse une petite histoire tiré d'un vrai compte de fée, autour du fléau des sans abris, essayant tant bien que mal de cacher la vérité à cet enfant, jusqu'à idéaliser et positiver l'image que donnent nos SDF dans la rue, avec beaucoup de naïveté et d'idéalisation il décrit et explique ce que vit un SDF et comment il vit avec beaucoup de légèreté mais surtout d'imagination
Evidemment tout ce qu'il dira n'est pas la vérité, car :
Si il dort dehors, c'est qu'il n'a pas de toit au dessus de sa tête.
Si il s'amuse à faire le mort, c'est que peut être au mieux il dort, au pire il a succombé au froid ou à la faim.
S'il a disparu, c'est qu'il s'est fait chasser par la police ou qu'il est décédé.
Toutes ces vérités acerbes qu'on voit tous les jours, comment le dire aux enfants ?
Alors, Orelsan essaie de donner des explications farfelues pour que l'enfant ne soit pas traumatiser, pour qu'il n'ait pas peur
D'autre part, l’île dont il fait référence est une métaphore du paradis, L'SDF trouvera enfin son bonheur, lui qui n'a pas eu droit aux vacances il pourra enfin profiter de la vie qu'il n'a pas pu avoir sur terre.
Et vous, si un enfant vous demandez d'expliquer pourquoi tous ces hommes et femmes dorment dans la rue, vous diriez quoi ?
Orelsan dresse une petite histoire tiré d'un vrai compte de fée, autour du fléau des sans abris, essayant tant bien que mal de cacher la vérité à cet enfant, jusqu'à idéaliser et positiver l'image que donnent nos SDF dans la rue, avec beaucoup de naïveté et d'idéalisation il décrit et explique ce que vit un SDF et comment il vit avec beaucoup de légèreté mais surtout d'imagination
Evidemment tout ce qu'il dira n'est pas la vérité, car :
Si il dort dehors, c'est qu'il n'a pas de toit au dessus de sa tête.
Si il s'amuse à faire le mort, c'est que peut être au mieux il dort, au pire il a succombé au froid ou à la faim.
S'il a disparu, c'est qu'il s'est fait chasser par la police ou qu'il est décédé.
Toutes ces vérités acerbes qu'on voit tous les jours, comment le dire aux enfants ?
Alors, Orelsan essaie de donner des explications farfelues pour que l'enfant ne soit pas traumatiser, pour qu'il n'ait pas peur
D'autre part, l’île dont il fait référence est une métaphore du paradis, L'SDF trouvera enfin son bonheur, lui qui n'a pas eu droit aux vacances il pourra enfin profiter de la vie qu'il n'a pas pu avoir sur terre.
Et vous, si un enfant vous demandez d'expliquer pourquoi tous ces hommes et femmes dorment dans la rue, vous diriez quoi ?
Orelsan dresse une petite histoire tiré d'un vrai compte de fée, autour du fléau des sans abris, essayant tant bien que mal de cacher la vérité à cet enfant, jusqu'à idéaliser et positiver l'image que donnent nos SDF dans la rue, avec beaucoup de naïveté et d'idéalisation il décrit et explique ce que vit un SDF et comment il vit avec beaucoup de légèreté mais surtout d'imagination
Evidemment tout ce qu'il dira n'est pas la vérité, car :
Si il dort dehors, c'est qu'il n'a pas de toit au dessus de sa tête.
Si il s'amuse à faire le mort, c'est que peut être au mieux il dort, au pire il a succombé au froid ou à la faim.
S'il a disparu, c'est qu'il s'est fait chasser par la police ou qu'il est décédé.
Toutes ces vérités acerbes qu'on voit tous les jours, comment le dire aux enfants ?
Alors, Orelsan essaie de donner des explications farfelues pour que l'enfant ne soit pas traumatiser, pour qu'il n'ait pas peur
D'autre part, l’île dont il fait référence est une métaphore du paradis, L'SDF trouvera enfin son bonheur, lui qui n'a pas eu droit aux vacances il pourra enfin profiter de la vie qu'il n'a pas pu avoir sur terre.
Et vous, si un enfant vous demandez d'expliquer pourquoi tous ces hommes et femmes dorment dans la rue, vous diriez quoi ?
Implicitement, on peut y voir un double sens ironique que l'on retrouve dans toute la trame de la chanson.
Plus on progresse dans le texte plus on a du mal à se demander si l'enfant se pose ces questions (un enfant ne sait peut être pas ce qu'est un treillis) ou si l'adulte lui même se ment pour ne plus voir la cruauté du monde.
La crédulité d'un enfant est grande, donc il est facile et de leur faire croire à ces histoires, tandis que l'adulte voit la vérité, parfois trop douloureuse, et à besoin de se mentir pour se rassurer et ne pas voir que le côté “noir” de la vie.
Implicitement, on peut y voir un double sens ironique que l'on retrouve dans toute la trame de la chanson.
Plus on progresse dans le texte plus on a du mal à se demander si l'enfant se pose ces questions (un enfant ne sait peut être pas ce qu'est un treillis) ou si l'adulte lui même se ment pour ne plus voir la cruauté du monde.
La crédulité d'un enfant est grande, donc il est facile et de leur faire croire à ces histoires, tandis que l'adulte voit la vérité, parfois trop douloureuse, et à besoin de se mentir pour se rassurer et ne pas voir que le côté “noir” de la vie.
Implicitement, on peut y voir un double sens ironique que l'on retrouve dans toute la trame de la chanson.
Plus on progresse dans le texte plus on a du mal à se demander si l'enfant se pose ces questions (un enfant ne sait peut être pas ce qu'est un treillis) ou si l'adulte lui même se ment pour ne plus voir la cruauté du monde.
La crédulité d'un enfant est grande, donc il est facile et de leur faire croire à ces histoires, tandis que l'adulte voit la vérité, parfois trop douloureuse, et à besoin de se mentir pour se rassurer et ne pas voir que le côté “noir” de la vie.
Implicitement, on peut y voir un double sens ironique que l'on retrouve dans toute la trame de la chanson.
Plus on progresse dans le texte plus on a du mal à se demander si l'enfant se pose ces questions (un enfant ne sait peut être pas ce qu'est un treillis) ou si l'adulte lui même se ment pour ne plus voir la cruauté du monde.
La crédulité d'un enfant est grande, donc il est facile et de leur faire croire à ces histoires, tandis que l'adulte voit la vérité, parfois trop douloureuse, et à besoin de se mentir pour se rassurer et ne pas voir que le côté “noir” de la vie.
Dans ce deuxième couplet, On peut aussi voir le même procédé de “fausse naïveté”
Orelsan décrit la situation d'une femme battue par son conjoint, toujours avec beaucoup de légèreté pour ne pas choquer l'enfant à qui il s'adresse. Encore une fois, ce n'est pas la réalité :
Si elle crie très fort, c'est qu'elle se dispute avec son mari ou qu'elle essaye de se débattre.
Si elle a du bleu sur le corps, c'est qu'elle a été battue par son mari. ça pourrait aussi bien être qu'un jeu, c'est ce qu'Orelsan, du moins, choisit de raconter.
- " Elle a sur tout le corps des tâches de la couleur du ciel. " - Dommage, Bigflo et Oli
( les deux rappeurs parlent d'une femme battue de manière implicite et sous entendent les bleus sur son corps)
Si elle a disparu, c'est probablement qu'au mieux elle s'est enfuie, au pire elle a succombé à un coup de trop.
Si elle met des lunettes de soleil, c'est pour cacher les hématomes et les bleus qu'elle a aux yeux mais également pour dissimuler ses larmes en attendant les jours de pluie qui fait référence aux larmes mais aussi elle se prépare à l'orage qui précède qui sont les coups
J'aime marcher sous la pluie, car personne ne peut voir mes larmes.
– Charlie Chaplin
Dans ce deuxième couplet, On peut aussi voir le même procédé de “fausse naïveté”
Orelsan décrit la situation d'une femme battue par son conjoint, toujours avec beaucoup de légèreté pour ne pas choquer l'enfant à qui il s'adresse. Encore une fois, ce n'est pas la réalité :
Si elle crie très fort, c'est qu'elle se dispute avec son mari ou qu'elle essaye de se débattre.
Si elle a du bleu sur le corps, c'est qu'elle a été battue par son mari. ça pourrait aussi bien être qu'un jeu, c'est ce qu'Orelsan, du moins, choisit de raconter.
- " Elle a sur tout le corps des tâches de la couleur du ciel. " - Dommage, Bigflo et Oli
( les deux rappeurs parlent d'une femme battue de manière implicite et sous entendent les bleus sur son corps)
Si elle a disparu, c'est probablement qu'au mieux elle s'est enfuie, au pire elle a succombé à un coup de trop.
Si elle met des lunettes de soleil, c'est pour cacher les hématomes et les bleus qu'elle a aux yeux mais également pour dissimuler ses larmes en attendant les jours de pluie qui fait référence aux larmes mais aussi elle se prépare à l'orage qui précède qui sont les coups
J'aime marcher sous la pluie, car personne ne peut voir mes larmes.
– Charlie Chaplin
Dans ce deuxième couplet, On peut aussi voir le même procédé de “fausse naïveté”
Orelsan décrit la situation d'une femme battue par son conjoint, toujours avec beaucoup de légèreté pour ne pas choquer l'enfant à qui il s'adresse. Encore une fois, ce n'est pas la réalité :
Si elle crie très fort, c'est qu'elle se dispute avec son mari ou qu'elle essaye de se débattre.
Si elle a du bleu sur le corps, c'est qu'elle a été battue par son mari. ça pourrait aussi bien être qu'un jeu, c'est ce qu'Orelsan, du moins, choisit de raconter.
- " Elle a sur tout le corps des tâches de la couleur du ciel. " - Dommage, Bigflo et Oli
( les deux rappeurs parlent d'une femme battue de manière implicite et sous entendent les bleus sur son corps)
Si elle a disparu, c'est probablement qu'au mieux elle s'est enfuie, au pire elle a succombé à un coup de trop.
Si elle met des lunettes de soleil, c'est pour cacher les hématomes et les bleus qu'elle a aux yeux mais également pour dissimuler ses larmes en attendant les jours de pluie qui fait référence aux larmes mais aussi elle se prépare à l'orage qui précède qui sont les coups
J'aime marcher sous la pluie, car personne ne peut voir mes larmes.
– Charlie Chaplin
Dans ce deuxième couplet, On peut aussi voir le même procédé de “fausse naïveté”
Orelsan décrit la situation d'une femme battue par son conjoint, toujours avec beaucoup de légèreté pour ne pas choquer l'enfant à qui il s'adresse. Encore une fois, ce n'est pas la réalité :
Si elle crie très fort, c'est qu'elle se dispute avec son mari ou qu'elle essaye de se débattre.
Si elle a du bleu sur le corps, c'est qu'elle a été battue par son mari. ça pourrait aussi bien être qu'un jeu, c'est ce qu'Orelsan, du moins, choisit de raconter.
- " Elle a sur tout le corps des tâches de la couleur du ciel. " - Dommage, Bigflo et Oli
( les deux rappeurs parlent d'une femme battue de manière implicite et sous entendent les bleus sur son corps)
Si elle a disparu, c'est probablement qu'au mieux elle s'est enfuie, au pire elle a succombé à un coup de trop.
Si elle met des lunettes de soleil, c'est pour cacher les hématomes et les bleus qu'elle a aux yeux mais également pour dissimuler ses larmes en attendant les jours de pluie qui fait référence aux larmes mais aussi elle se prépare à l'orage qui précède qui sont les coups
J'aime marcher sous la pluie, car personne ne peut voir mes larmes.
– Charlie Chaplin
Implicitement, on peut y voir un double sens ironique que l'on retrouve dans toute la trame de la chanson.
Plus on progresse dans le texte plus on a du mal à se demander si l'enfant se pose ces questions (un enfant ne sait peut être pas ce qu'est un treillis) ou si l'adulte lui même se ment pour ne plus voir la cruauté du monde.
La crédulité d'un enfant est grande, donc il est facile et de leur faire croire à ces histoires, tandis que l'adulte voit la vérité, parfois trop douloureuse, et à besoin de se mentir pour se rassurer et ne pas voir que le côté “noir” de la vie.
Implicitement, on peut y voir un double sens ironique que l'on retrouve dans toute la trame de la chanson.
Plus on progresse dans le texte plus on a du mal à se demander si l'enfant se pose ces questions (un enfant ne sait peut être pas ce qu'est un treillis) ou si l'adulte lui même se ment pour ne plus voir la cruauté du monde.
La crédulité d'un enfant est grande, donc il est facile et de leur faire croire à ces histoires, tandis que l'adulte voit la vérité, parfois trop douloureuse, et à besoin de se mentir pour se rassurer et ne pas voir que le côté “noir” de la vie.
Implicitement, on peut y voir un double sens ironique que l'on retrouve dans toute la trame de la chanson.
Plus on progresse dans le texte plus on a du mal à se demander si l'enfant se pose ces questions (un enfant ne sait peut être pas ce qu'est un treillis) ou si l'adulte lui même se ment pour ne plus voir la cruauté du monde.
La crédulité d'un enfant est grande, donc il est facile et de leur faire croire à ces histoires, tandis que l'adulte voit la vérité, parfois trop douloureuse, et à besoin de se mentir pour se rassurer et ne pas voir que le côté “noir” de la vie.
Implicitement, on peut y voir un double sens ironique que l'on retrouve dans toute la trame de la chanson.
Plus on progresse dans le texte plus on a du mal à se demander si l'enfant se pose ces questions (un enfant ne sait peut être pas ce qu'est un treillis) ou si l'adulte lui même se ment pour ne plus voir la cruauté du monde.
La crédulité d'un enfant est grande, donc il est facile et de leur faire croire à ces histoires, tandis que l'adulte voit la vérité, parfois trop douloureuse, et à besoin de se mentir pour se rassurer et ne pas voir que le côté “noir” de la vie.
Troisième et dernier couplet, cette fois, Orelsan décrit une situation de guerre avec beaucoup de légèreté à l'enfant auquel il parle :
Si les se tirent dessus, c'est parce qu’il y'a une guerre et que chacun n'obéit qu'aux ordres, chacun n'essaie que de sauver sa peau.
la mort et les blessures des tirs de balles sont remplacées par les vaccins : des aides pour le corps humains afin de survivre au maladies, une façon de dire que le vaccin fait référence à la paix qui règne lorsqu'on a vaincu l’ennemi ( en lien avec les contradiction : se tirer dessus/vaccin ; guerre / paix)
Si les bâtiments explosent, c'est pour faire régner le chaos et la terreur
on peut imaginer l'image d'une explosion comme dans les dessins animés, avec des petites étoiles de partout, étoiles qui d'après Orelsan iraient dans le ciel
Je pense que les étoiles auxquels il fait référence c'est la même chose que lorsqu'on dis d'une personne qui meurt, qu'elle devient une étoile. Donc quand les bâtiments explosent, en situation de guerre, cela fait des morts.
je ne suis pas d’accord avec la métaphore des étoiles comme dans les dessins animés. Mais moi j’y vois plus une référence scientifique tout simplement. Je m’explique, les étoiles étant des amas de poussière, la poussière engendrée par l’explosion d’un bâtiment engendrait pour Orelsan la fabrication d’étoiles
on peut penser aux centrales nucléaires qui ont des accidents “créer une étoile”, un soleil, de l'énergie
Si, ils ont disparu, c'est qu'ils sont tombés au combat après s'être entre tués.
Troisième et dernier couplet, cette fois, Orelsan décrit une situation de guerre avec beaucoup de légèreté à l'enfant auquel il parle :
Si les se tirent dessus, c'est parce qu’il y'a une guerre et que chacun n'obéit qu'aux ordres, chacun n'essaie que de sauver sa peau.
la mort et les blessures des tirs de balles sont remplacées par les vaccins : des aides pour le corps humains afin de survivre au maladies, une façon de dire que le vaccin fait référence à la paix qui règne lorsqu'on a vaincu l’ennemi ( en lien avec les contradiction : se tirer dessus/vaccin ; guerre / paix)
Si les bâtiments explosent, c'est pour faire régner le chaos et la terreur
on peut imaginer l'image d'une explosion comme dans les dessins animés, avec des petites étoiles de partout, étoiles qui d'après Orelsan iraient dans le ciel
Je pense que les étoiles auxquels il fait référence c'est la même chose que lorsqu'on dis d'une personne qui meurt, qu'elle devient une étoile. Donc quand les bâtiments explosent, en situation de guerre, cela fait des morts.
je ne suis pas d’accord avec la métaphore des étoiles comme dans les dessins animés. Mais moi j’y vois plus une référence scientifique tout simplement. Je m’explique, les étoiles étant des amas de poussière, la poussière engendrée par l’explosion d’un bâtiment engendrait pour Orelsan la fabrication d’étoiles
on peut penser aux centrales nucléaires qui ont des accidents “créer une étoile”, un soleil, de l'énergie
Si, ils ont disparu, c'est qu'ils sont tombés au combat après s'être entre tués.
Troisième et dernier couplet, cette fois, Orelsan décrit une situation de guerre avec beaucoup de légèreté à l'enfant auquel il parle :
Si les se tirent dessus, c'est parce qu’il y'a une guerre et que chacun n'obéit qu'aux ordres, chacun n'essaie que de sauver sa peau.
la mort et les blessures des tirs de balles sont remplacées par les vaccins : des aides pour le corps humains afin de survivre au maladies, une façon de dire que le vaccin fait référence à la paix qui règne lorsqu'on a vaincu l’ennemi ( en lien avec les contradiction : se tirer dessus/vaccin ; guerre / paix)
Si les bâtiments explosent, c'est pour faire régner le chaos et la terreur
on peut imaginer l'image d'une explosion comme dans les dessins animés, avec des petites étoiles de partout, étoiles qui d'après Orelsan iraient dans le ciel
Je pense que les étoiles auxquels il fait référence c'est la même chose que lorsqu'on dis d'une personne qui meurt, qu'elle devient une étoile. Donc quand les bâtiments explosent, en situation de guerre, cela fait des morts.
je ne suis pas d’accord avec la métaphore des étoiles comme dans les dessins animés. Mais moi j’y vois plus une référence scientifique tout simplement. Je m’explique, les étoiles étant des amas de poussière, la poussière engendrée par l’explosion d’un bâtiment engendrait pour Orelsan la fabrication d’étoiles
on peut penser aux centrales nucléaires qui ont des accidents “créer une étoile”, un soleil, de l'énergie
Si, ils ont disparu, c'est qu'ils sont tombés au combat après s'être entre tués.
Troisième et dernier couplet, cette fois, Orelsan décrit une situation de guerre avec beaucoup de légèreté à l'enfant auquel il parle :
Si les se tirent dessus, c'est parce qu’il y'a une guerre et que chacun n'obéit qu'aux ordres, chacun n'essaie que de sauver sa peau.
la mort et les blessures des tirs de balles sont remplacées par les vaccins : des aides pour le corps humains afin de survivre au maladies, une façon de dire que le vaccin fait référence à la paix qui règne lorsqu'on a vaincu l’ennemi ( en lien avec les contradiction : se tirer dessus/vaccin ; guerre / paix)
Si les bâtiments explosent, c'est pour faire régner le chaos et la terreur
on peut imaginer l'image d'une explosion comme dans les dessins animés, avec des petites étoiles de partout, étoiles qui d'après Orelsan iraient dans le ciel
Je pense que les étoiles auxquels il fait référence c'est la même chose que lorsqu'on dis d'une personne qui meurt, qu'elle devient une étoile. Donc quand les bâtiments explosent, en situation de guerre, cela fait des morts.
je ne suis pas d’accord avec la métaphore des étoiles comme dans les dessins animés. Mais moi j’y vois plus une référence scientifique tout simplement. Je m’explique, les étoiles étant des amas de poussière, la poussière engendrée par l’explosion d’un bâtiment engendrait pour Orelsan la fabrication d’étoiles
on peut penser aux centrales nucléaires qui ont des accidents “créer une étoile”, un soleil, de l'énergie
Si, ils ont disparu, c'est qu'ils sont tombés au combat après s'être entre tués.
Implicitement, on peut y voir un double sens ironique que l'on retrouve dans toute la trame de la chanson.
Plus on progresse dans le texte plus on a du mal à se demander si l'enfant se pose ces questions (un enfant ne sait peut être pas ce qu'est un treillis) ou si l'adulte lui même se ment pour ne plus voir la cruauté du monde.
La crédulité d'un enfant est grande, donc il est facile et de leur faire croire à ces histoires, tandis que l'adulte voit la vérité, parfois trop douloureuse, et à besoin de se mentir pour se rassurer et ne pas voir que le côté “noir” de la vie.
Implicitement, on peut y voir un double sens ironique que l'on retrouve dans toute la trame de la chanson.
Plus on progresse dans le texte plus on a du mal à se demander si l'enfant se pose ces questions (un enfant ne sait peut être pas ce qu'est un treillis) ou si l'adulte lui même se ment pour ne plus voir la cruauté du monde.
La crédulité d'un enfant est grande, donc il est facile et de leur faire croire à ces histoires, tandis que l'adulte voit la vérité, parfois trop douloureuse, et à besoin de se mentir pour se rassurer et ne pas voir que le côté “noir” de la vie.
Implicitement, on peut y voir un double sens ironique que l'on retrouve dans toute la trame de la chanson.
Plus on progresse dans le texte plus on a du mal à se demander si l'enfant se pose ces questions (un enfant ne sait peut être pas ce qu'est un treillis) ou si l'adulte lui même se ment pour ne plus voir la cruauté du monde.
La crédulité d'un enfant est grande, donc il est facile et de leur faire croire à ces histoires, tandis que l'adulte voit la vérité, parfois trop douloureuse, et à besoin de se mentir pour se rassurer et ne pas voir que le côté “noir” de la vie.
Implicitement, on peut y voir un double sens ironique que l'on retrouve dans toute la trame de la chanson.
Plus on progresse dans le texte plus on a du mal à se demander si l'enfant se pose ces questions (un enfant ne sait peut être pas ce qu'est un treillis) ou si l'adulte lui même se ment pour ne plus voir la cruauté du monde.
La crédulité d'un enfant est grande, donc il est facile et de leur faire croire à ces histoires, tandis que l'adulte voit la vérité, parfois trop douloureuse, et à besoin de se mentir pour se rassurer et ne pas voir que le côté “noir” de la vie.
« Dors » est une injonction ;
Orelsan exhorte l’enfant dont il est question ici à continuer de dormir, à continuer à fermer les yeux ; de cette façon, enfermé dans une attitude passive, il ne peut pas se rendre compte des problèmes auxquels la société qui l’entoure fait face.
si il dit dort, ça pourrait être aussi une demande a l'enfant de dormir pour ne pas voir la réalité en face, de continuer de rêver de toutes ces choses bien afin de ne pas être impacté par la dure réalité
Au sens propre Orelsan tente d'endormir un enfant avec sa chanson. Au sens figuré apparaît l'expression “endormir quelqu'un” qui s'utilise lorsqu'on déforme la vérité pour faire avaler des bobards.
Orel endort cet enfant dans les deux sens du terme (ou plutôt, il doit l'endormir (lui mentir) afin de l'endormir).
Orelsan essaie d'endormir l'enfant qui l'accompagne dans le clip, serait-ce son homologue enfantin à qui il s'adresse ? essayant de calmer l'enfant qu'il est en lui, de fermer les yeux, de se laisser aller dans un sommeil
Ou est-ce une façon à lui de refléter l'attitude passive qu'a tout le monde à rien faire
Parle-t-il à un enfant ?
serait-il lui même cet enfin à qui il s'adresse ?
Ou parle-t-il à tous ceux qui sont endormis par les médias et la télé-réalité comme pour leur dire de continuer de dormir car les choses vont bien, on peut y voir de l'ironie dans ce qu'il dit de façon implicite, comme un double sens caché, qu'il ne croit pas à un mot de ce qu'il dit.
C'est une métaphore beaucoup plus vaste qu'elle n'y parait. On peut aussi y voir une image des médias, de la politique cherchant a taire le citoyen qui pose beaucoup trop de questions. Au final on est un peu comme le petit , on voit les massacres mais on retourne se coucher ,bercés par leurs enivrantes paroles…
On peut également y voir une référence à la chanson “Dodo” de l'artiste belge Stromae ( à noter que le morceau produit par Skread mais aussi co produit par Stromaé, l’instrumental s'entend l'ambiance est très stromalien d'ailleurs).
Ce morceau, a une instrumentalisation très similaire, une berceuse qu'on chanterait à un enfant dépeignant la cruauté qui est aussi une réalité de la vie sur un ton paradoxalement léger.
Contrairement à la chanson “Dodo” de Stromae, cette chanson a pris trois cas particulier qui touchent tout particulièrement l'Ukraine en ce moment.
« Dors » est une injonction ;
Orelsan exhorte l’enfant dont il est question ici à continuer de dormir, à continuer à fermer les yeux ; de cette façon, enfermé dans une attitude passive, il ne peut pas se rendre compte des problèmes auxquels la société qui l’entoure fait face.
si il dit dort, ça pourrait être aussi une demande a l'enfant de dormir pour ne pas voir la réalité en face, de continuer de rêver de toutes ces choses bien afin de ne pas être impacté par la dure réalité
Au sens propre Orelsan tente d'endormir un enfant avec sa chanson. Au sens figuré apparaît l'expression “endormir quelqu'un” qui s'utilise lorsqu'on déforme la vérité pour faire avaler des bobards.
Orel endort cet enfant dans les deux sens du terme (ou plutôt, il doit l'endormir (lui mentir) afin de l'endormir).
Orelsan essaie d'endormir l'enfant qui l'accompagne dans le clip, serait-ce son homologue enfantin à qui il s'adresse ? essayant de calmer l'enfant qu'il est en lui, de fermer les yeux, de se laisser aller dans un sommeil
Ou est-ce une façon à lui de refléter l'attitude passive qu'a tout le monde à rien faire
Parle-t-il à un enfant ?
serait-il lui même cet enfin à qui il s'adresse ?
Ou parle-t-il à tous ceux qui sont endormis par les médias et la télé-réalité comme pour leur dire de continuer de dormir car les choses vont bien, on peut y voir de l'ironie dans ce qu'il dit de façon implicite, comme un double sens caché, qu'il ne croit pas à un mot de ce qu'il dit.
C'est une métaphore beaucoup plus vaste qu'elle n'y parait. On peut aussi y voir une image des médias, de la politique cherchant a taire le citoyen qui pose beaucoup trop de questions. Au final on est un peu comme le petit , on voit les massacres mais on retourne se coucher ,bercés par leurs enivrantes paroles…
On peut également y voir une référence à la chanson “Dodo” de l'artiste belge Stromae ( à noter que le morceau produit par Skread mais aussi co produit par Stromaé, l’instrumental s'entend l'ambiance est très stromalien d'ailleurs).
Ce morceau, a une instrumentalisation très similaire, une berceuse qu'on chanterait à un enfant dépeignant la cruauté qui est aussi une réalité de la vie sur un ton paradoxalement léger.
Contrairement à la chanson “Dodo” de Stromae, cette chanson a pris trois cas particulier qui touchent tout particulièrement l'Ukraine en ce moment.