J'aime creuser des trous et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille, je n'oublierai pas de venir les chercher
J'aime creuser des trous
Et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille,
Je n'oublierai pas de venir les chercher
Alice fait référence à une "capsule temporelle", qui est une boite ou une malle amené à traverser les années. Conservée dans un endroit au choix ou enterrée, cette capsule est destinée à contenir des objets, de valeur sentimentale ou autre ( photos, lettres, documents... ect). Elle sert aussi de témoignage destiné aux générations futures.
Ces premières lignes de la chanson sont du point de vue d'une jeune Alice, qui ne veut pas oublier ses souvenirs d'enfance, elle pense donc à les enterrer dans une capsule temporelle pour qu'ils soient conservés et les déterrer plus tard quand elle sera plus âgée.
J'aime creuser des trous et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille, je n'oublierai pas de venir les chercher
J'aime creuser des trous
Et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille,
Je n'oublierai pas de venir les chercher
Alice fait référence à une "capsule temporelle", qui est une boite ou une malle amené à traverser les années. Conservée dans un endroit au choix ou enterrée, cette capsule est destinée à contenir des objets, de valeur sentimentale ou autre ( photos, lettres, documents... ect). Elle sert aussi de témoignage destiné aux générations futures.
Ces premières lignes de la chanson sont du point de vue d'une jeune Alice, qui ne veut pas oublier ses souvenirs d'enfance, elle pense donc à les enterrer dans une capsule temporelle pour qu'ils soient conservés et les déterrer plus tard quand elle sera plus âgée.
Parce que j'ai des souvenirs et je voyage comme des gitans dans la nuit
Mais j'ai des souvenirs et je voyage comme des gitans dans la nuit
"Gypsie" ou "Gitans" désigne un bohémien originaire d'Espagne. Les gitans mènent un mode de vie nomade fondé sur le déplacement, souvent en quête de nourriture ou de stabilité. Les gitans vivent le plus souvent dans des caravanes ce qui facilitent leur déplacement.
Je me construis une maison et j'attends, j'attends que quelqu'un la détruise
Puis emballe chaque pièce dans des boîtes et je me dirige vers la prochaine ville
Alice n'a que 24 ans mais elle a déménagé 11 fois dans quatre pays différents. Née en Allemagne, elle a déménagé à New York ensuite au Canada. Elle a vécue quelque temps en Angleterre pour enfin revenir vivre en Allemagne.
Ce passage révèle une certaine tristesse dans la chanson. En raison de ses nombreux déplacements, Alice n'a jamais eu le temps de s'acclimater à un pays ou de bâtir un foyer.
Je me construis une maison et j'attends, j'attends que quelqu'un la détruise
Puis emballe chaque pièce dans des boîtes et je me dirige vers la prochaine ville
Alice n'a que 24 ans mais elle a déménagé 11 fois dans quatre pays différents. Née en Allemagne, elle a déménagé à New York ensuite au Canada. Elle a vécue quelque temps en Angleterre pour enfin revenir vivre en Allemagne.
Ce passage révèle une certaine tristesse dans la chanson. En raison de ses nombreux déplacements, Alice n'a jamais eu le temps de s'acclimater à un pays ou de bâtir un foyer.
Parce que j'ai des souvenirs et je voyage comme des gitans dans la nuit
Mais j'ai des souvenirs et je voyage comme des gitans dans la nuit
"Gypsie" ou "Gitans" désigne un bohémien originaire d'Espagne. Les gitans mènent un mode de vie nomade fondé sur le déplacement, souvent en quête de nourriture ou de stabilité. Les gitans vivent le plus souvent dans des caravanes ce qui facilitent leur déplacement.
Et mille fois j'ai vu cette route
Un millier de fois
Et mille fois, j'ai vu cette route
Pour une personne ordinaire, le fait de déménager et quitter son foyer, ses amis peut être très pénible mais par pour Alice, elle a tellement déménagée que ça ne la touche plus.
La parole "J'ai vu cette route mille fois" indique qu'elle est déjà passée par et qu'elle sait ce qui l'attend.
Et mille fois j'ai vu cette route
Un millier de fois
Et mille fois, j'ai vu cette route
Pour une personne ordinaire, le fait de déménager et quitter son foyer, ses amis peut être très pénible mais par pour Alice, elle a tellement déménagée que ça ne la touche plus.
La parole "J'ai vu cette route mille fois" indique qu'elle est déjà passée par et qu'elle sait ce qui l'attend.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
J'aime rester immobile, mais ce n'est qu'un projet idéaliste
Demande-moi d'où je viens, je dirai : "d'un pays différent"
La plupart des gens rêvent de voyager, de voir le monde, faire sa valise et laissé sa vie derrière soi.
Mais le rêve d'Alice c'est de rester dans un seul endroit, un seul pays ou elle peut vivre, prospérer, rencontrer des gens et établir des relations durables.
Il est vrais que le fait de déménager tout le temps peut être très difficile surtout pour un enfant. Elle en a marre d’être toujours "la nouvelle" au quartier, à l'école. Elle rêve d'une vie ordinaire sans changement.
J'aime rester immobile, mais ce n'est qu'un projet idéaliste
Demande-moi d'où je viens, je dirai : "d'un pays différent"
La plupart des gens rêvent de voyager, de voir le monde, faire sa valise et laissé sa vie derrière soi.
Mais le rêve d'Alice c'est de rester dans un seul endroit, un seul pays ou elle peut vivre, prospérer, rencontrer des gens et établir des relations durables.
Il est vrais que le fait de déménager tout le temps peut être très difficile surtout pour un enfant. Elle en a marre d’être toujours "la nouvelle" au quartier, à l'école. Elle rêve d'une vie ordinaire sans changement.
Parce que j'ai des souvenirs et je voyage comme des gitans dans la nuit
Mais j'ai des souvenirs et je voyage comme des gitans dans la nuit
"Gypsie" ou "Gitans" désigne un bohémien originaire d'Espagne. Les gitans mènent un mode de vie nomade fondé sur le déplacement, souvent en quête de nourriture ou de stabilité. Les gitans vivent le plus souvent dans des caravanes ce qui facilitent leur déplacement.
Je compte les portes et les numéros, puis je joue aux devinettes
C'est juste l'endroit qui change, le reste demeure inchangé
Comme la plupart de ses déplacements ont eu lieu lors de son enfance, elle n'arrivait pas à se souvenir des noms des villes et des pays. Mais elle dit que ce n'est pas grave car pour elle le plus important (sa famille) ne changeait pas.
Je compte les portes et les numéros, puis je joue aux devinettes
C'est juste l'endroit qui change, le reste demeure inchangé
Comme la plupart de ses déplacements ont eu lieu lors de son enfance, elle n'arrivait pas à se souvenir des noms des villes et des pays. Mais elle dit que ce n'est pas grave car pour elle le plus important (sa famille) ne changeait pas.
Parce que j'ai des souvenirs et je voyage comme des gitans dans la nuit
Mais j'ai des souvenirs et je voyage comme des gitans dans la nuit
"Gypsie" ou "Gitans" désigne un bohémien originaire d'Espagne. Les gitans mènent un mode de vie nomade fondé sur le déplacement, souvent en quête de nourriture ou de stabilité. Les gitans vivent le plus souvent dans des caravanes ce qui facilitent leur déplacement.
Et mille fois j'ai vu cette route
Un millier de fois
Et mille fois, j'ai vu cette route
Pour une personne ordinaire, le fait de déménager et quitter son foyer, ses amis peut être très pénible mais par pour Alice, elle a tellement déménagée que ça ne la touche plus.
La parole "J'ai vu cette route mille fois" indique qu'elle est déjà passée par et qu'elle sait ce qui l'attend.
Et mille fois j'ai vu cette route
Un millier de fois
Et mille fois, j'ai vu cette route
Pour une personne ordinaire, le fait de déménager et quitter son foyer, ses amis peut être très pénible mais par pour Alice, elle a tellement déménagée que ça ne la touche plus.
La parole "J'ai vu cette route mille fois" indique qu'elle est déjà passée par et qu'elle sait ce qui l'attend.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
J'aime creuser des trous et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille, je n'oublierai pas de venir les chercher
J'aime creuser des trous
Et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille,
Je n'oublierai pas de venir les chercher
Alice fait référence à une "capsule temporelle", qui est une boite ou une malle amené à traverser les années. Conservée dans un endroit au choix ou enterrée, cette capsule est destinée à contenir des objets, de valeur sentimentale ou autre ( photos, lettres, documents... ect). Elle sert aussi de témoignage destiné aux générations futures.
Ces premières lignes de la chanson sont du point de vue d'une jeune Alice, qui ne veut pas oublier ses souvenirs d'enfance, elle pense donc à les enterrer dans une capsule temporelle pour qu'ils soient conservés et les déterrer plus tard quand elle sera plus âgée.
J'aime creuser des trous et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille, je n'oublierai pas de venir les chercher
J'aime creuser des trous
Et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille,
Je n'oublierai pas de venir les chercher
Alice fait référence à une "capsule temporelle", qui est une boite ou une malle amené à traverser les années. Conservée dans un endroit au choix ou enterrée, cette capsule est destinée à contenir des objets, de valeur sentimentale ou autre ( photos, lettres, documents... ect). Elle sert aussi de témoignage destiné aux générations futures.
Ces premières lignes de la chanson sont du point de vue d'une jeune Alice, qui ne veut pas oublier ses souvenirs d'enfance, elle pense donc à les enterrer dans une capsule temporelle pour qu'ils soient conservés et les déterrer plus tard quand elle sera plus âgée.
J'aime creuser des trous et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille, je n'oublierai pas de venir les chercher
J'aime creuser des trous
Et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille,
Je n'oublierai pas de venir les chercher
Alice fait référence à une "capsule temporelle", qui est une boite ou une malle amené à traverser les années. Conservée dans un endroit au choix ou enterrée, cette capsule est destinée à contenir des objets, de valeur sentimentale ou autre ( photos, lettres, documents... ect). Elle sert aussi de témoignage destiné aux générations futures.
Ces premières lignes de la chanson sont du point de vue d'une jeune Alice, qui ne veut pas oublier ses souvenirs d'enfance, elle pense donc à les enterrer dans une capsule temporelle pour qu'ils soient conservés et les déterrer plus tard quand elle sera plus âgée.
J'aime creuser des trous et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille, je n'oublierai pas de venir les chercher
J'aime creuser des trous
Et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille,
Je n'oublierai pas de venir les chercher
Alice fait référence à une "capsule temporelle", qui est une boite ou une malle amené à traverser les années. Conservée dans un endroit au choix ou enterrée, cette capsule est destinée à contenir des objets, de valeur sentimentale ou autre ( photos, lettres, documents... ect). Elle sert aussi de témoignage destiné aux générations futures.
Ces premières lignes de la chanson sont du point de vue d'une jeune Alice, qui ne veut pas oublier ses souvenirs d'enfance, elle pense donc à les enterrer dans une capsule temporelle pour qu'ils soient conservés et les déterrer plus tard quand elle sera plus âgée.
J'aime creuser des trous et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille, je n'oublierai pas de venir les chercher
J'aime creuser des trous
Et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille,
Je n'oublierai pas de venir les chercher
Alice fait référence à une "capsule temporelle", qui est une boite ou une malle amené à traverser les années. Conservée dans un endroit au choix ou enterrée, cette capsule est destinée à contenir des objets, de valeur sentimentale ou autre ( photos, lettres, documents... ect). Elle sert aussi de témoignage destiné aux générations futures.
Ces premières lignes de la chanson sont du point de vue d'une jeune Alice, qui ne veut pas oublier ses souvenirs d'enfance, elle pense donc à les enterrer dans une capsule temporelle pour qu'ils soient conservés et les déterrer plus tard quand elle sera plus âgée.
J'aime creuser des trous et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille, je n'oublierai pas de venir les chercher
J'aime creuser des trous
Et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille,
Je n'oublierai pas de venir les chercher
Alice fait référence à une "capsule temporelle", qui est une boite ou une malle amené à traverser les années. Conservée dans un endroit au choix ou enterrée, cette capsule est destinée à contenir des objets, de valeur sentimentale ou autre ( photos, lettres, documents... ect). Elle sert aussi de témoignage destiné aux générations futures.
Ces premières lignes de la chanson sont du point de vue d'une jeune Alice, qui ne veut pas oublier ses souvenirs d'enfance, elle pense donc à les enterrer dans une capsule temporelle pour qu'ils soient conservés et les déterrer plus tard quand elle sera plus âgée.
J'aime creuser des trous et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille, je n'oublierai pas de venir les chercher
J'aime creuser des trous
Et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille,
Je n'oublierai pas de venir les chercher
Alice fait référence à une "capsule temporelle", qui est une boite ou une malle amené à traverser les années. Conservée dans un endroit au choix ou enterrée, cette capsule est destinée à contenir des objets, de valeur sentimentale ou autre ( photos, lettres, documents... ect). Elle sert aussi de témoignage destiné aux générations futures.
Ces premières lignes de la chanson sont du point de vue d'une jeune Alice, qui ne veut pas oublier ses souvenirs d'enfance, elle pense donc à les enterrer dans une capsule temporelle pour qu'ils soient conservés et les déterrer plus tard quand elle sera plus âgée.
J'aime creuser des trous et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille, je n'oublierai pas de venir les chercher
J'aime creuser des trous
Et cacher des choses dedans
Quand je serai vieille,
Je n'oublierai pas de venir les chercher
Alice fait référence à une "capsule temporelle", qui est une boite ou une malle amené à traverser les années. Conservée dans un endroit au choix ou enterrée, cette capsule est destinée à contenir des objets, de valeur sentimentale ou autre ( photos, lettres, documents... ect). Elle sert aussi de témoignage destiné aux générations futures.
Ces premières lignes de la chanson sont du point de vue d'une jeune Alice, qui ne veut pas oublier ses souvenirs d'enfance, elle pense donc à les enterrer dans une capsule temporelle pour qu'ils soient conservés et les déterrer plus tard quand elle sera plus âgée.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.
Je n'ai pas de racines mais ma maison, n'a jamais été sur le sol
Je n'ai pas de racines uh uh uh uh
Je n'ai pas de racines !
Pas de racines
Non!
... Je respire, pourtant je n'ai pas de racines! Des forets se sont moquées de moi parce que j'ai les racines dehors, au grand jour. Ça ne se fait pas chez les arbres, montrer ses racines. Pourtant, qu'est-ce que c'est bien les racines dehors ! Mes racines s'accrochent au vent et hop ! Je marche, je marche, je traverse, j’échappe aux tempêtes de sable. Et parfois, j’échappe aussi à la guerre ...
“On ne peut rêver que si on a les pieds sur terre. Plus les racines sont profondes, plus les branches sont porteuses.”
Le fait d’être sans racines peut être vu de deux façon différentes, comme le démontre les deux texte au dessus. Mais Alice voit ceci comme une forme de liberté, elle n'a pas de racines qui l'emprisonnent. Elle peut donc voyager et découvrir le monde.
Elle explique aussi que le foyer ou la maison, pour elle, n'est pas une bâtisse mais c'est les personnes qu'elle aiment et qui voyagent avec elle. Elle peut donc emmener "sa maison" partout avec elle.