Paroles de Chained To the Rhythm

Un objectif peut amplifier ou clarifier une image, mais brouiller le monde qui l'entoure.

"White-picket fences" "Clôtures blanches" représentent le rêve américain, avec l'objectif de devenir quelqu'un d'influent vivant dans une maison de banlieue. Etre comme un ornement veut dire, être attirant mais sans aucune utilité 

Sur la couverture du premier album de Katy, One Of The Boys, on la voit devant une clôture blanche 

Un objectif peut amplifier ou clarifier une image, mais brouiller le monde qui l'entoure.

"White-picket fences" "Clôtures blanches" représentent le rêve américain, avec l'objectif de devenir quelqu'un d'influent vivant dans une maison de banlieue. Etre comme un ornement veut dire, être attirant mais sans aucune utilité 

Sur la couverture du premier album de Katy, One Of The Boys, on la voit devant une clôture blanche 

Un objectif peut amplifier ou clarifier une image, mais brouiller le monde qui l'entoure.

"White-picket fences" "Clôtures blanches" représentent le rêve américain, avec l'objectif de devenir quelqu'un d'influent vivant dans une maison de banlieue. Etre comme un ornement veut dire, être attirant mais sans aucune utilité 

Sur la couverture du premier album de Katy, One Of The Boys, on la voit devant une clôture blanche 

Un objectif peut amplifier ou clarifier une image, mais brouiller le monde qui l'entoure.

"White-picket fences" "Clôtures blanches" représentent le rêve américain, avec l'objectif de devenir quelqu'un d'influent vivant dans une maison de banlieue. Etre comme un ornement veut dire, être attirant mais sans aucune utilité 

Sur la couverture du premier album de Katy, One Of The Boys, on la voit devant une clôture blanche 

Après l’élection présidentiel de 2016, De nombreux médias ont blâmé la victoire surprise de Donald Trump sur les bulles médiatiques. C’est devenu un problème tellement grand que le président Obama l’a adressé dans son discours d’adieu.

Pour beaucoup d’Américains, c’est devenu beaucoup plus sure de se retirer dans leurs bulles, Que ce soit dans leur quartiers ou campus universitaires ou lieux de culte. Entourer de gens qui leur ressemblent et partagent les mêmes perspectives politiques.

La montée de la partisanerie, l'augmentation de la stratification économique et régionale, la fragmentation des médias en une chaîne pour tous les goûts - tout cela rend ce grand tri parait naturel, même inévitable.

Les paroles de Katy reflètent la principale inquiétude d’Obama, les américains vivent dans leurs bulles ou tout le monde partagent les mêmes idées qu’eux. Et tant qu’ils n’ont pas quitté la bulle et " grimpé dans la peau [de quelqu'un] et fait un tour", ils resteront inconscients des ennuis de leurs compatriotes Américains.

Après l’élection présidentiel de 2016, De nombreux médias ont blâmé la victoire surprise de Donald Trump sur les bulles médiatiques. C’est devenu un problème tellement grand que le président Obama l’a adressé dans son discours d’adieu.

Pour beaucoup d’Américains, c’est devenu beaucoup plus sure de se retirer dans leurs bulles, Que ce soit dans leur quartiers ou campus universitaires ou lieux de culte. Entourer de gens qui leur ressemblent et partagent les mêmes perspectives politiques.

La montée de la partisanerie, l'augmentation de la stratification économique et régionale, la fragmentation des médias en une chaîne pour tous les goûts - tout cela rend ce grand tri parait naturel, même inévitable.

Les paroles de Katy reflètent la principale inquiétude d’Obama, les américains vivent dans leurs bulles ou tout le monde partagent les mêmes idées qu’eux. Et tant qu’ils n’ont pas quitté la bulle et " grimpé dans la peau [de quelqu'un] et fait un tour", ils resteront inconscients des ennuis de leurs compatriotes Américains.

 Perry se réfère à la partie riche de la société qui se sépare délibérément des autres à travers des communautés fermées. Ils sont « prisonniers de leur clôture blanche ». Elle illustre comment ils créent ce qui semble à un monde parfait, une utopie.

Quand elle demande quand est ce que tout cela s’arrêtera, elle se réfère au fait que ce 1% de la société continue de s’enrichir de plus en plus pour aucune raison apparente.

Perry marque un bon point quand elle se pose des questions sur la solitude des riches, les gens les plus riches en Amérique ont le tôt de suicide le plus haut et la solitude représente l’une des principales causes de suicide 

 Perry se réfère à la partie riche de la société qui se sépare délibérément des autres à travers des communautés fermées. Ils sont « prisonniers de leur clôture blanche ». Elle illustre comment ils créent ce qui semble à un monde parfait, une utopie.

Quand elle demande quand est ce que tout cela s’arrêtera, elle se réfère au fait que ce 1% de la société continue de s’enrichir de plus en plus pour aucune raison apparente.

Perry marque un bon point quand elle se pose des questions sur la solitude des riches, les gens les plus riches en Amérique ont le tôt de suicide le plus haut et la solitude représente l’une des principales causes de suicide 

 Perry se réfère à la partie riche de la société qui se sépare délibérément des autres à travers des communautés fermées. Ils sont « prisonniers de leur clôture blanche ». Elle illustre comment ils créent ce qui semble à un monde parfait, une utopie.

Quand elle demande quand est ce que tout cela s’arrêtera, elle se réfère au fait que ce 1% de la société continue de s’enrichir de plus en plus pour aucune raison apparente.

Perry marque un bon point quand elle se pose des questions sur la solitude des riches, les gens les plus riches en Amérique ont le tôt de suicide le plus haut et la solitude représente l’une des principales causes de suicide 

Après l’élection présidentiel de 2016, De nombreux médias ont blâmé la victoire surprise de Donald Trump sur les bulles médiatiques. C’est devenu un problème tellement grand que le président Obama l’a adressé dans son discours d’adieu.

Pour beaucoup d’Américains, c’est devenu beaucoup plus sure de se retirer dans leurs bulles, Que ce soit dans leur quartiers ou campus universitaires ou lieux de culte. Entourer de gens qui leur ressemblent et partagent les mêmes perspectives politiques.

La montée de la partisanerie, l'augmentation de la stratification économique et régionale, la fragmentation des médias en une chaîne pour tous les goûts - tout cela rend ce grand tri parait naturel, même inévitable.

Les paroles de Katy reflètent la principale inquiétude d’Obama, les américains vivent dans leurs bulles ou tout le monde partagent les mêmes idées qu’eux. Et tant qu’ils n’ont pas quitté la bulle et " grimpé dans la peau [de quelqu'un] et fait un tour", ils resteront inconscients des ennuis de leurs compatriotes Américains.

Après l’élection présidentiel de 2016, De nombreux médias ont blâmé la victoire surprise de Donald Trump sur les bulles médiatiques. C’est devenu un problème tellement grand que le président Obama l’a adressé dans son discours d’adieu.

Pour beaucoup d’Américains, c’est devenu beaucoup plus sure de se retirer dans leurs bulles, Que ce soit dans leur quartiers ou campus universitaires ou lieux de culte. Entourer de gens qui leur ressemblent et partagent les mêmes perspectives politiques.

La montée de la partisanerie, l'augmentation de la stratification économique et régionale, la fragmentation des médias en une chaîne pour tous les goûts - tout cela rend ce grand tri parait naturel, même inévitable.

Les paroles de Katy reflètent la principale inquiétude d’Obama, les américains vivent dans leurs bulles ou tout le monde partagent les mêmes idées qu’eux. Et tant qu’ils n’ont pas quitté la bulle et " grimpé dans la peau [de quelqu'un] et fait un tour", ils resteront inconscients des ennuis de leurs compatriotes Américains.

Quelqu’un qui voit le monde à travers des lunettes roses croit qu’il est plus agréable qu’il ne l’ai réellement, il peut ignorer les événements critiques qui peuvent défier son idéalisme

Selon Katy, la société sous-estime ses problèmes. Elle encourage cette ignorance parce-que faire la fête est plus important que de reconnaître les problèmes du monde  

Quelqu’un qui voit le monde à travers des lunettes roses croit qu’il est plus agréable qu’il ne l’ai réellement, il peut ignorer les événements critiques qui peuvent défier son idéalisme

Selon Katy, la société sous-estime ses problèmes. Elle encourage cette ignorance parce-que faire la fête est plus important que de reconnaître les problèmes du monde  

Quelqu’un qui voit le monde à travers des lunettes roses croit qu’il est plus agréable qu’il ne l’ai réellement, il peut ignorer les événements critiques qui peuvent défier son idéalisme

Selon Katy, la société sous-estime ses problèmes. Elle encourage cette ignorance parce-que faire la fête est plus important que de reconnaître les problèmes du monde  

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

 « Enchaîné au rythme » peut signifier que nous sommes tous trop heureux de maintenir le statu de K.O dans nos vies. Tout comme nous sommes captivés par le rythme, nous nous conformons aux normes oppressives et étouffantes. La vidéo lyrique soutient cette idée, car elle représente un hamster dans sa roue, regardant une émission de télévision, un symbole du fait de courir sans jamais aller nul part.

Pour promouvoir «Chained to the Rhythm», Katy a laissé des boules de disco enchaînées à des objets dans un certain nombre de villes dans le monde. Les boules de disco étaient reliées à des écouteurs jouant la chanson.

 « Enchaîné au rythme » peut signifier que nous sommes tous trop heureux de maintenir le statu de K.O dans nos vies. Tout comme nous sommes captivés par le rythme, nous nous conformons aux normes oppressives et étouffantes. La vidéo lyrique soutient cette idée, car elle représente un hamster dans sa roue, regardant une émission de télévision, un symbole du fait de courir sans jamais aller nul part.

Pour promouvoir «Chained to the Rhythm», Katy a laissé des boules de disco enchaînées à des objets dans un certain nombre de villes dans le monde. Les boules de disco étaient reliées à des écouteurs jouant la chanson.

 « Enchaîné au rythme » peut signifier que nous sommes tous trop heureux de maintenir le statu de K.O dans nos vies. Tout comme nous sommes captivés par le rythme, nous nous conformons aux normes oppressives et étouffantes. La vidéo lyrique soutient cette idée, car elle représente un hamster dans sa roue, regardant une émission de télévision, un symbole du fait de courir sans jamais aller nul part.

Pour promouvoir «Chained to the Rhythm», Katy a laissé des boules de disco enchaînées à des objets dans un certain nombre de villes dans le monde. Les boules de disco étaient reliées à des écouteurs jouant la chanson.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

 « Enchaîné au rythme » peut signifier que nous sommes tous trop heureux de maintenir le statu de K.O dans nos vies. Tout comme nous sommes captivés par le rythme, nous nous conformons aux normes oppressives et étouffantes. La vidéo lyrique soutient cette idée, car elle représente un hamster dans sa roue, regardant une émission de télévision, un symbole du fait de courir sans jamais aller nul part.

Pour promouvoir «Chained to the Rhythm», Katy a laissé des boules de disco enchaînées à des objets dans un certain nombre de villes dans le monde. Les boules de disco étaient reliées à des écouteurs jouant la chanson.

 « Enchaîné au rythme » peut signifier que nous sommes tous trop heureux de maintenir le statu de K.O dans nos vies. Tout comme nous sommes captivés par le rythme, nous nous conformons aux normes oppressives et étouffantes. La vidéo lyrique soutient cette idée, car elle représente un hamster dans sa roue, regardant une émission de télévision, un symbole du fait de courir sans jamais aller nul part.

Pour promouvoir «Chained to the Rhythm», Katy a laissé des boules de disco enchaînées à des objets dans un certain nombre de villes dans le monde. Les boules de disco étaient reliées à des écouteurs jouant la chanson.

 « Enchaîné au rythme » peut signifier que nous sommes tous trop heureux de maintenir le statu de K.O dans nos vies. Tout comme nous sommes captivés par le rythme, nous nous conformons aux normes oppressives et étouffantes. La vidéo lyrique soutient cette idée, car elle représente un hamster dans sa roue, regardant une émission de télévision, un symbole du fait de courir sans jamais aller nul part.

Pour promouvoir «Chained to the Rhythm», Katy a laissé des boules de disco enchaînées à des objets dans un certain nombre de villes dans le monde. Les boules de disco étaient reliées à des écouteurs jouant la chanson.

Quelqu'un qui est sourd ne peut pas percevoir exactement différents tons musicaux. Les bruits qu'un sourd fait peuvent paraître bon pour eux, mais horrible pour les autres. De même, un politicien «sourd» n'est pas conscient de la nécessité du changement parce qu'il ne parvient pas à comprendre des problèmes, à part les siens.

Katy était active sur le plan politique en 2016 et au début de 2017, y compris à la Convention Nationale Démocratique en faveur de la candidature présidentielle de Hillary Clinton.

Quelqu'un qui est sourd ne peut pas percevoir exactement différents tons musicaux. Les bruits qu'un sourd fait peuvent paraître bon pour eux, mais horrible pour les autres. De même, un politicien «sourd» n'est pas conscient de la nécessité du changement parce qu'il ne parvient pas à comprendre des problèmes, à part les siens.

Katy était active sur le plan politique en 2016 et au début de 2017, y compris à la Convention Nationale Démocratique en faveur de la candidature présidentielle de Hillary Clinton.

Quelqu'un qui est sourd ne peut pas percevoir exactement différents tons musicaux. Les bruits qu'un sourd fait peuvent paraître bon pour eux, mais horrible pour les autres. De même, un politicien «sourd» n'est pas conscient de la nécessité du changement parce qu'il ne parvient pas à comprendre des problèmes, à part les siens.

Katy était active sur le plan politique en 2016 et au début de 2017, y compris à la Convention Nationale Démocratique en faveur de la candidature présidentielle de Hillary Clinton.

Quelqu'un qui est sourd ne peut pas percevoir exactement différents tons musicaux. Les bruits qu'un sourd fait peuvent paraître bon pour eux, mais horrible pour les autres. De même, un politicien «sourd» n'est pas conscient de la nécessité du changement parce qu'il ne parvient pas à comprendre des problèmes, à part les siens.

Katy était active sur le plan politique en 2016 et au début de 2017, y compris à la Convention Nationale Démocratique en faveur de la candidature présidentielle de Hillary Clinton.

Après l’élection présidentiel de 2016, De nombreux médias ont blâmé la victoire surprise de Donald Trump sur les bulles médiatiques. C’est devenu un problème tellement grand que le président Obama l’a adressé dans son discours d’adieu.

Pour beaucoup d’Américains, c’est devenu beaucoup plus sure de se retirer dans leurs bulles, Que ce soit dans leur quartiers ou campus universitaires ou lieux de culte. Entourer de gens qui leur ressemblent et partagent les mêmes perspectives politiques.

La montée de la partisanerie, l'augmentation de la stratification économique et régionale, la fragmentation des médias en une chaîne pour tous les goûts - tout cela rend ce grand tri parait naturel, même inévitable.

Les paroles de Katy reflètent la principale inquiétude d’Obama, les américains vivent dans leurs bulles ou tout le monde partagent les mêmes idées qu’eux. Et tant qu’ils n’ont pas quitté la bulle et " grimpé dans la peau [de quelqu'un] et fait un tour", ils resteront inconscients des ennuis de leurs compatriotes Américains.

Après l’élection présidentiel de 2016, De nombreux médias ont blâmé la victoire surprise de Donald Trump sur les bulles médiatiques. C’est devenu un problème tellement grand que le président Obama l’a adressé dans son discours d’adieu.

Pour beaucoup d’Américains, c’est devenu beaucoup plus sure de se retirer dans leurs bulles, Que ce soit dans leur quartiers ou campus universitaires ou lieux de culte. Entourer de gens qui leur ressemblent et partagent les mêmes perspectives politiques.

La montée de la partisanerie, l'augmentation de la stratification économique et régionale, la fragmentation des médias en une chaîne pour tous les goûts - tout cela rend ce grand tri parait naturel, même inévitable.

Les paroles de Katy reflètent la principale inquiétude d’Obama, les américains vivent dans leurs bulles ou tout le monde partagent les mêmes idées qu’eux. Et tant qu’ils n’ont pas quitté la bulle et " grimpé dans la peau [de quelqu'un] et fait un tour", ils resteront inconscients des ennuis de leurs compatriotes Américains.

Quelqu’un qui voit le monde à travers des lunettes roses croit qu’il est plus agréable qu’il ne l’ai réellement, il peut ignorer les événements critiques qui peuvent défier son idéalisme

Selon Katy, la société sous-estime ses problèmes. Elle encourage cette ignorance parce-que faire la fête est plus important que de reconnaître les problèmes du monde  

Quelqu’un qui voit le monde à travers des lunettes roses croit qu’il est plus agréable qu’il ne l’ai réellement, il peut ignorer les événements critiques qui peuvent défier son idéalisme

Selon Katy, la société sous-estime ses problèmes. Elle encourage cette ignorance parce-que faire la fête est plus important que de reconnaître les problèmes du monde  

Quelqu’un qui voit le monde à travers des lunettes roses croit qu’il est plus agréable qu’il ne l’ai réellement, il peut ignorer les événements critiques qui peuvent défier son idéalisme

Selon Katy, la société sous-estime ses problèmes. Elle encourage cette ignorance parce-que faire la fête est plus important que de reconnaître les problèmes du monde  

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

Dans un autre sens, cette ligne peut se référer à la façon dont on juge les autres et la façon dont on contrôle chaque aspect de notre comportement. On pense qu’on est libre parce qu’on nous a dit qu’on l’était, mais combien d’entre nous profitent de cette opportunité ? La liberté est un choix, et Katy veut que les gens soient plus conscients de cela.

 « Enchaîné au rythme » peut signifier que nous sommes tous trop heureux de maintenir le statu de K.O dans nos vies. Tout comme nous sommes captivés par le rythme, nous nous conformons aux normes oppressives et étouffantes. La vidéo lyrique soutient cette idée, car elle représente un hamster dans sa roue, regardant une émission de télévision, un symbole du fait de courir sans jamais aller nul part.

Pour promouvoir «Chained to the Rhythm», Katy a laissé des boules de disco enchaînées à des objets dans un certain nombre de villes dans le monde. Les boules de disco étaient reliées à des écouteurs jouant la chanson.

 « Enchaîné au rythme » peut signifier que nous sommes tous trop heureux de maintenir le statu de K.O dans nos vies. Tout comme nous sommes captivés par le rythme, nous nous conformons aux normes oppressives et étouffantes. La vidéo lyrique soutient cette idée, car elle représente un hamster dans sa roue, regardant une émission de télévision, un symbole du fait de courir sans jamais aller nul part.

Pour promouvoir «Chained to the Rhythm», Katy a laissé des boules de disco enchaînées à des objets dans un certain nombre de villes dans le monde. Les boules de disco étaient reliées à des écouteurs jouant la chanson.

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Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

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Un empire est une population gouvernée par une seule autorité supérieure. Sur le premier album de Skip, Lions, il s’est rebellé contre l’état actuel des états unis, spécialement Donald Trump et ses lois contre les Musulmans. Les Lions sont tous les gens qui sont prêts à se battre pour la liberté et l’égalité.

 

Un empire est une population gouvernée par une seule autorité supérieure. Sur le premier album de Skip, Lions, il s’est rebellé contre l’état actuel des états unis, spécialement Donald Trump et ses lois contre les Musulmans. Les Lions sont tous les gens qui sont prêts à se battre pour la liberté et l’égalité.

 

Un empire est une population gouvernée par une seule autorité supérieure. Sur le premier album de Skip, Lions, il s’est rebellé contre l’état actuel des états unis, spécialement Donald Trump et ses lois contre les Musulmans. Les Lions sont tous les gens qui sont prêts à se battre pour la liberté et l’égalité.

 

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Un empire est une population gouvernée par une seule autorité supérieure. Sur le premier album de Skip, Lions, il s’est rebellé contre l’état actuel des états unis, spécialement Donald Trump et ses lois contre les Musulmans. Les Lions sont tous les gens qui sont prêts à se battre pour la liberté et l’égalité.

 

Katy compare la distorsion sonore à la distorsion des médias, c'est-à-dire l'imprécision ou les mensonges de sources d'information déformés. Les gens qui sont contraints par la propagande sont bercés dans un faux sentiment de sécurité, tout comme la musique les pousse à danser. Plutôt que de penser de façon critique, ils préfèrent se distraire, comme des zombis.

“On pense qu’on est libre” peut être une référence aux lois Donald Trump, comme interdire aux réfugiés de plusieurs pays à majorité musulmane d’entrer aux États-Unis et arrêter le financement de Planned Parenthood. Ces actions donnent l’illusion de liberté, mais en réalité elle est beaucoup plus sélective, certains sont libres c’est vrai mais aux dépens des autres.

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Katy termine cette chanson en montrant sa conscience de soi et la nature de la pop. Cette chanson comme beaucoup de ses autres se composent d'un rythme accrocheur et des paroles répétitives. Néanmoins, tout le monde l'aime.